« Cavalier » fait référence à Mahomet en sa qualité de chef militaire ayant causé le chaos social dans la communauté en créant des milliers de règles faisant partie intégrante de la religion qu'il était occupé à créer. Les personnes qui devenaient musulmanes devaient respecter ces nouvelles règles et un fossé croissant commença à diviser les fidèles et infidèles.
Le même phénomène se produit en ce moment dans notre société. La population musulmane grandissante devient de plus en plus religieuse et respecte de plus en plus les milliers de règles de l'Islam, engendrant ainsi des conflits : nous pensons à l'interdiction du foulard dans les services publics afin de préserver la neutralité, aux problèmes avec les codes vestimentaires des filles dans les écoles et au travail, à la lutte contre l'abattage inhumain des animaux, à la nourriture servie dans les écoles qui doit respecter les consignes halal, à la pression sur les propriétaires de restaurants musulmans afin qu'ils ne servent plus de boissons alcoolisées, à la police qui doit apprendre à ne pas boire, fumer ou manger en public lorsqu'elle patrouille en période de Ramadan, en bref, prendre en compte les «sensibilités des musulmans». Aujourd'hui, la «sensibilité des musulman » tourne principalement autour des règles strictes qui dominent la vie d'un musulman, et qui le différencient et le séparent des non-musulmans.
Il y 1400 ans, Abu Afak avait déjà réalisé que la nature de la religion émergente, l'Islam, avait un effet séparatiste sur la communauté. La même chose se produit aujourd'hui, pas seulement en Belgique, mais dans le monde entier.
Apparemment, lorsque Mahomet souleva l'idée de « s'occuper » de ce « vaurien », il ne parlait pas d'autre chose que de le tuer. Malheureusement, ce n'était pas la première fois, ni la dernière, que cela se produisait.
Notez que Mahomet n'invita pas Abu Afak à parler de leurs différences. Suivant l'exemple de son Prophète, Muhammad Bouyeri, l'assassin du réalisateur néerlandais Theo van Gogh, ne prit pas la peine de parler à la personne qui avait insulté son Prophète. Theo van Gogh essaya en vain d'engager un dialogue avec la personne qui était sur le point de le tuer : « Parlons-en », dit-il.