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BEWEGING EX-MOSLIMS VAN BELGIË - MOUVEMENT DES EX-MUSULMANS DE BELGIQUE

En lisant un article sur l'Islam, prenez bien garde aux points suivants :

1. Les erreurs logiques. Les articles et publications qui défendent les musulmans ont une autre logique. Avec un peu d'entraînement, vous parviendrez à déceler les erreurs. Deux exemples : (1) un article sur le Djihad déclare que ce terme ne signifie "violence" que dans le cas de l'autodéfense, et non de l'agression. Un peu plus loin, le même article avance qu'en cas d'attaque par les musulmans, ces derniers doivent d'abord inviter les non-musulmans à se convertir à l'Islam. Ce n'est déjà plus de l'autodéfense ! (2) Un autre article assure que l'égalité entre hommes et femmes est l'un des principes du Coran. Mais dans le même paragraphe, vous lisez que l'homme est responsable de tout et la femme de rien. Alors, où est l’égalité ?

2. Certain mots ont une autre signification pour les musulmans. Trois exemples : (1) Justice. Pour un musulman, justice signifie l'application de toutes les lois d'Allah, donc que les hommes ont davantage de droits que les femmes et les musulmans davantage que les non-musulmans. Pour un musulman, donner ou vouloir donner les mêmes droits aux hommes et aux femmes est une injustice. (2) Paix. Pour l'Islam, la paix est uniquement possible si l'Islam est répandu partout. C'est pourquoi les livres de loi islamique affirment que le Djihad signifie la guerre contre les non-musulmans jusqu'à ce l'Islam soit appliqué partout. Le Djihad est une guerre pour amener la paix. (3) L'Islam est contre la corruption. A première vue, qui parle de corruption pense instinctivement aux pots-de-vin pour obtenir des contrats publics. Ceux-ci n'existaient évidemment pas à l'époque de la fondation de l'Islam. Pour un musulman, corruption signifie une offense à Mahomet et à l'Islam, quelque chose qui empêche la diffusion de l'Islam. C'est également le cas lorsque les jeunes filles ne peuvent porter le voile à l'école ou lorsque quelqu'un quitte l'Islam en le déclarant publiquement. Il y a donc corruption. Ce site Internet est un exemple de corruption.

3. Parlant d'un sujet déterminé, un article fait des déclarations qui sont correctes mais qui n’ont rien à faire avec le sujet. Cette tactique est utilisée pour créer une ambiance positive et renforcer la crédibilité de l'article.

4. Les versets du Coran écrits lorsque Mahomet habitait à La Mecque sont souvent préférés : il était alors un leader spirituel comptant peu de partisans et n'ayant aucun pouvoir, il diffusait un message depuis cette position subalterne: des appels à le reconnaître comme prophète, menacer de l'enfer, adresser des mises en garde, adopter une attitude positive envers les juifs et les chrétiens qu'il pensait convaincre aisément, déclarer que chacun a le droit de croire en ce qu’il veut (liberté de religion)…

5. En revanche, on évite de citer les versets du Coran rédigés lorsque Mahomet séjournait à Médine : devenu un chef politique et militaire, sa puissance allant croissant, son message reflète sa situation. La violence en représente une grande partie, en particulier les chapitres 8 et 9 et une partie du chapitre 2 à partir du verset 190. Il faut mener une guerre contre les non-croyants, il est maintenant clair que les juifs et les chrétiens ne sont pas du côté de Mahomet, ils ne le reconnaissent pas comme prophète et sont à ce titre damnés…

6. Passer sous silence des (parties) de versets du Coran qui neutralisent des versets pacifiques. C'est par exemple le cas du verset 5.32, très souvent cité, qui déclare que quiconque tue une personne tue l'humanité entière. Tuer quelqu’un est donc interdit dans l'Islam. Le verset suivant, 5.33, n'est en revanche jamais cité, étant donné qu'il déclare que quiconque "combat" contre Allah et Mahomet (et donc entrave ou lutte contre l'Islam), doit être tué ou sévèrement puni. Lisez la suite ici.

7. Élaborer un témoignage complet à partir de Hadith peu crédibles ou faibles, par exemple à propos du Djihad. Il faut savoir que les Hadith faibles ne sont pas considérés comme une base valable pour des déclarations à propos de l'Islam.

8. Déplacer la charge de la preuve sur le lecteur, en avançant par exemple que l'on ne connaît aucun cas concret de condamnation à mort d'un musulman par Mahomet en raison de renonciation à la foi musulmane. C'est au lecteur de prouver qu’il existe des cas.

9. L'amalgame entre l'Islam et les musulmans d'une part, la chrétienté et les chrétiens d'autre part. Pour justifier la fondation de l'Islam par Mahomet, qui s'est opérée dans un climat de violence, les musulmans rappellent que les croisades furent également très sanguinaires. Mais on oublie que les actes de Mahomet sont considérés comme des exemples pour tous les musulmans, alors que pour les chrétiens, les actes des Croisés ou d'autres chrétiens ne sont évidemment pas un exemple. Aucun d'entre eux ne s'offensera si quelqu'un déclare que les croisés ont fait preuve de violence ou de cruauté. Mais tentez donc d’affirmer, ou même de suggérer, que Mahomet a agi de la sorte, et vous susciterez une réaction agressive, qui vous prouvera justement que vous avez raison.

10. Culture. Quand on rappelle que Mahomet s’était marié avec une petite fille de six ans et que le mariage a été consommé trois ans plus tard, alors que Mahomet était lui-même âgé de 50 ans, les défenseurs de l'Islam répondent que cela était normal dans la culture de l'époque. Mahomet n'a donc pas interdit cette détestable coutume.

Il en a aboli d'autres, certes, comme le meurtre de bébés filles, pratiqué chez certaines tribus arabes. Mais il a également supprimé de bonnes coutumes, telles que celle considérant l'adoption comme l'équivalent de la filiation par le sang. Il l'a fait pour pouvoir se marier avec sa belle-fille, après avoir poussé son fils adoptif à divorcer sa femme, ce qui provoqua un énorme scandale – si grand que pour "couvrir" le comportement de Mahomet, plusieurs versets du Coran durent être "révélés" (Sourate 33).

Mahomet respecte donc la culture de son époque lorsqu'il veut épouser une fillette de six ans, mais ne le fait plus lorsqu'il désire se marier avec sa belle-fille. Une autre bonne coutume annuelle était l'armistice de quatre mois par ans dans sa région. Il ne respecta pas cette tradition afin de pouvoir attaquer une caravane de son ennemi déclaré de La Mecque.

La question est de savoir si un prophète ayant reçu un mandat d'Allah pour remettre de l'ordre dans les affaires doit seulement se contenter de respecter sa culture locale ou doit abolir TOUTES les mauvaises coutumes. Aucun musulman bien-pensant ne pourra déclarer au XXIe siècle que la possibilité de marier une fillette de six ans est une expression culturelle supérieure aux cultures contemporaines, islamiques ou non, qui n'autorisent le mariage que vers les 16 ans. Pourtant, des érudits islamiques se basent toujours sur l'exemple de Mahomet pour approuver un mariage avec une fillette de neuf ans, comme l'autorise d'ailleurs la loi en Iran.


A quoi prendre garde ???

ETUDE DE L’ISLAM