BEWEGING EX-
Ex-
Pendant toute ma vie je me posais des questions existentielles, je me demandais sur l’existence d'un créateur, je me posais des questions sur la vérité des dites Religions, si ça existait vraiment ou bien ça n'était qu'un pure mensonge dont on nous fait croire, et après nous priver de notre liberté d'expression. Que nous restions juste des simples esclaves qui suivent et exécutent les ordres!!!
A présent, moi j'ai bien compris que la dite Religion n’est ni plus ni moins qu'une simple politique, car un humain est toujours prêt à protester contre un ordre humain, mais quand il s'agissait d'un ordre divin, là il se retient car il aura toujours peur !!
Moi j'ai pris ma décision définitive de renoncer à la religion, en 2008, et précisément le 15 Février, une date que je n'oublierai jamais tant que je suis en vie, car c'était le jour ou j'ai perdu la personne la plus chère à mon cœur MA Mère, je l'avait fait entrer à l’hôpital pour être soignée, et on l'a ignoré et la laisser pourir, et le troisième jour sa vie a prit fin!! C'est parce que je n'ai pas donné de "Bakchich" à l'équipe médical!! Et ce sont des personnes qui se disent des Musulmans!!! des assassins OUI!
Sachiez que le Maroc est plein d’Apostats, mais qui restent dans l'obscurité de peur d'être en danger, eux et leur famille et surtout après la Fatwa suivante:
Maroc : La peine de mort recommandée pour les apostats
La publication par un quotidien marocain (Akhbar Al-
Kamal Znidar Vendredi 19 Avril 2013
« Celui qui renonce à sa religion est apostat et il doit retourner à sa religion.
S'il refuse, il perd la vie et l'au-
Et dire que le Maroc est signataire du Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui admet formellement le droit de changer de religion sans conséquences négatives.
Que des mensonges, car une fois reconnue comme Apostat, c'est la peine de prison et si on tombe entre les mains d'un groupe de musulmans extrémistes c'est l'assassinat...
Moi, j'ai parlé de mes inspirations à la mauvaise personne, et me voilà en danger de mort.
Au Maroc, je travaillais jusqu'au jour ou j'ai prit la fuite.
Vous, savez, malgré la situation dans laquelle je me trouve; sans ma famille, sans domicile fixe, pas un endroit ou aller et pas de quoi vivre, au fond je me sens libre et en paix. |