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BEWEGING EX-MOSLIMS VAN BELGIË - MOUVEMENT DES EX-MUSULMANS DE BELGIQUE


Le second Islam
À Médine, Mahomet s'impose en peu de temps comme leader politique. Il se transforme en chef de guerre et commence une lutte armée ininterrompue pour se venger des infidèles de La Mecque, qui l'ont maltraité, mais qui, surtout, ne l'ont pas accepté comme prophète.

Mahomet est resté à Médine jusqu'à sa mort, soit 10 ans de conflits militaires incessants. Des centaines de Hadith dans les collections de Bukhari et Muslim relatent ses expéditions militaires. Il en a lui-même participé à 17 (Hadith selon Muslim). La table des matières de chaque biographie de Mahomet (lorsqu'il était à Médine) est une succession de batailles.

De l'époque date sa déclaration contestée: "J'ai vaincu au moyen de la terreur" (Bukhari). C'est l'une des déclarations que rejettent avec grande fermeté les musulmans modérés, car ils ne peuvent imaginer ces termes sortant de la bouche de leur prophète. Mais les érudits islamiques pensent le contraire. Citer ces Hadith peut provoquer la fureur de nombreux musulmans, qui vous qualifieront certainement d'islamophobe.

L'ayah 2.217 a été révélé suite au succès de son premier pillage entraînant un décès. "Ils t'interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés. - Dis : "Y combattre est un péché grave, mais plus grave encore auprès d'Allah est de faire obstacle au sentier d'Allah, d'être impie envers Celui-ci et la Mosquée sacrée, et d'expulser de là ses habitants. L'association est plus grave que le meurtre." C'est très clair : "Faire obstacle au sentier d'Allah [C’est à dire l’Islam] est plus grave que le meurtre". Une série de batailles sans fin a commencé lorsque Mahomet attaqua les caravanes des commerçants de La Mecque.

Durant son séjour à Médine, Mahomet contracte le mariage à plus de 10 reprises. Le plus étonnant est celui avec avec Aisha, alors âgée de 6 ou 7 ans, mariage entièrement "consommé" lorsqu'elle en a 9 et joue encore à la poupée. Suite à l'exemple du Prophète, l'âge minimal du mariage pour les jeunes filles en Iran, et dans certains territoires de l'Afghanistan, est … en effet, 9 ans ! Le deuxième mariage insolite est celui contracté avec Safiya, immédiatement après avoir fait torturer et décapiter son mari Kinana (page 505 d'Ibn Ishaq).

À Médine, Mahomet a également ordonné l’assassinat de ses détracteurs. Les meurtres de Ka'b bin Al-Ashraf et Abu Rafi sont bien documentés dans les Hadith; ceux d'Abu Afak et de la poétesse Asma bint Marwan alors qu'elle dormait avec ses cinq enfants, sont documentés par Ibn Ishaq dans sa biographie en pages 675 et 676.

Ces gens ne représentaient pourtant aucune menace directe pour Mahomet, mais commirent l’erreur de le critiquer. Un phénomène que nous connaissons encore dans l'Europe contemporaine. Quiconque ose qualifier l'Islam de religion violente est menacé de mort par les musulmans dévots, qui par leur comportement, prouvent que l'Islam a bien en lui-même des gènes violents.

Sur ordre de Mahomet, les apostats doivent également être tués. Jusqu'à ce jour, certains pays prévoient la peine de mort pour les apostats, alors que la plupart des pays islamiques ont toujours des peines ou des sanctions, même la Malaisie modérée.

Durant la période dite de Médine, des dizaines de versets violents ont été révélés à Mahomet. Par ceux-ci, Allah a justifié et appuyé d'incessantes batailles.

Pour les adeptes du second Islam, le Djihad n'est pas un combat spirituel, mais "Qital al Kuffar", c'est-à-dire la "guerre contre les non-musulmans" parce qu'ils refusent de croire en Allah.

L'une des dernières Sourates révélées est la numéro 9, Sourate-At-Tawbah, "Le repentir". Dans ce contexte, repentir signifie que l'on regrette de ne pas avoir voulu devenir musulman mais que l'on a quand même fini par se convertir après la révélation de l'ayah 9.5.

L'ayah 9.5 était la dernière opportunité pour les idolâtres. Allah leur a donné une ultime chance de devenir musulman, ou de mourir. La Hadith indique que Mahomet l'a réellement mise en pratique.

Les juifs et les chrétiens avaient toutefois une alternative : payer une sorte de taxe, la jizya, et se soumettre aux volontés des maîtres musulmans, ainsi qu’aux prescriptions de l'ayat 9.29.

Le second Islam est celui des musulmans occupant une position dominante dans la société, et qui imposent leur volonté et leurs lois aux non-musulmans. C'est l’Islam qui dit que les hindous n'ont pas le droit de vivre. En Égypte, pourtant une destination de vacances de nombreux Occidentaux, la loi impose de signaler la religion sur la carte d'identité. Elle laisse le choix entre musulman, chrétien ou juif. Les autres n'ont pas le droit d'existence. Dans leurs mosquées, les imams ont parfaitement le droit de le déclarer, tout haut et sans crainte d'être sanctionnés. On peut même écouter leurs sermons, diffusés en rue par haut-parleurs.

C'est le "second Islam", qui réprime les femmes, leur interdit de choisir elles-mêmes leur partenaire, accorde aux hommes jusqu’à quatre épouses pour assouvir leurs désirs, les autorise à les répudier sur simple requête, ou comme l’affirme le Coran en 4.20, "Si vous voulez substituer une épouse à une autre, et que vous ayez donné à l'une un quintar, n'en reprenez rien. Quoi! Le reprendriez-vous par injustice et péché manifeste?". Le second Islam qui autorise un homme à battre sa femme selon 4.34, qui affirme que les femmes ont un défaut d'intelligence, les voit uniquement comme une source de séduction. Un Hadith déclare que les femmes sont fitna (source de séduction) pour les hommes.

C'est l'Islam qui dit que les femmes prisonnières de guerre et esclaves peuvent être violées (4.24).

C'est l'Islam de l'Afghanistan et de l'Arabie Saoudite, de Ben Laden et Mohammed Bouyeri, meurtrier de Theo van Gogh, et celui des terroristes musulmans. C'est également l'Islam tel que le comprennent les érudits islamiques des universités comme Al-Azhar en Égypte ou Qom en Iran pour les chiites.

Dans des livres, ces érudits expliquent comment l'Islam doit être appliqué. Il ne s'agit pas de vieux rouleaux de parchemin, mais de livres modernes, tels que "”Reliance of the traveller, a classic manual of islamic sacred law"", imprimé en 1994. Ce qui est décrit ci-dessus y est rédigé noir sur blanc: couper la main d'un voleur, en page 613, tuer l’apostat, en page 595, réduire au rang d'esclave une femme capturée durant le Djihad, en page 604 (when a child or woman is taken captive they become slaves by the fact of capture and the woman's previous marriage is immediately annulled).

Les auteurs de ces ouvrages n'ont rien inventé ni interprété, tout est dans le Coran et les Hadith, et appuyé par les biographies de Mahomet (Ibn Ishaq, Tabari, Ibn Sa'd, Waqidi) et des grands tafsirs (explication du Coran). Tous ces livres ont été écrits par des musulmans dévots, pour d'autres musulmans. Ils sont d'ailleurs toujours imprimés au Pakistan et en Arabie Saoudite.

C'est l'Islam que ne connaissent pas nos frères et soeurs musulmans modérés, qu'ils ne veulent pas connaître ou auquel ils préfèrent renoncer. C’est l’Islam qui est bien réel et vient vers nous.

ETUDE DE L’ISLAM